L'engagement, au cœur de JOUR 1
Nos produits sont le fruit de l’expertise de nos équipes, qui ont sélectionné le meilleur des actifs français et bio, pour réconcilier plaisir et responsabilité avec une routine complète et saine.
"Dans nos ténèbres, il n'y a pas une place pour la beauté. Toute la place est pour la beauté."
René Char,
Fureur & mystère
Certifié Cosmos Organic
Nous avons imaginé des formules naturelles et certifiées BIO avec la volonté farouche de trouver des formules qui concilient respect de la peau, de la santé, de la planète sans oublier l'efficacité et le plaisir.
Végan & Cruelty free
Tous nos produits sont VEGAN et ne contiennent aucune substance animale. Et comme la réglementation européenne l’exige, nos formules n’ont pas été testées sur les animaux.
L'éco-conception
Il se vend environ 500 000 bouteilles de shampoing chaque jour en France. Ce chiffre a de quoi faire frémir. Avec JOUR 1 et nos packs en carton qui s'affranchissent de 70% de plastique, nous proposons une transition pour une routine plus respectueuse de l'environnement.
Produits gorgés d'eau des Alpes
Connue des curistes du monde entier, l'eau des Alpes est réputée pour sa richesse en magnésium. Si vous regardez attentivement la fameuse liste INCI, vous savez que l'eau est le premier ingrédient qui rentre dans la composition d'un produit cosmétique, sa qualité est donc essentielle pour que la magie d'un produit opère !
Fabrication locale en Savoie
Les produits JOUR 1 sont tous fabriqués dans notre laboratoire en Savoie au cœur des Alpes, tout près du lac d'Aix les Bains.
FOCUS SUR NOS PACKS
Shampoings, masques
JOUR1, c'est un pari audacieux : celui de faire rentrer du carton sous la douche ! Un carton d'un genre spécial, issu de journaux recyclés qui entoure le flacon de plastique souple pour lui permettre de résister sous la douche !
A LA SOURCE DE NOS FILIERES
Le choix de l'agriculture française BIO
Nos actifs sont tous issus de l'agriculture française BIO. Et ce n'est pas rien de soutenir l'agriculture française BIO : en 2020 elle représentait 12% des fermes, ce qui est encore bien peu